Aha.
Mercredi 22 septembre 2010 à 22:34
(faites clic droit > afficher l'image si vous voyez rien, bigleux.)
"Quel gâchis de passer autant de temps avec quelqu'un pour finalement s'apercevoir qu'elle est une inconnue. "
Lundi 16 août 2010 à 1:50
(Ceci est la suite de ça :http://jacklepirate.cowblog.fr/poum-3025122.html, donc si vous lisez ça sans l'avoir lu, vous allez peut être pas tout comprendre... Mais qu'importe.)
Voilà. Je marche en retenant mes larmes sur la route du Polygone (règle numéro 1 : ne jamais pleurer en public), je rentre dans ma voiture, je pose ma tête contre le volant et... Je pleure. Un peu. Pas trop, des gens du parking commencent à me voir et à se demander (enfin, je crois) ce que j'ai.
Alors je pars chez moi.
Ce qu'il y a de bizarre quand on conduit, c'est que ça aide à faire oublier. On est peut être un peu moins concentré sur sa conduite (j'y reviendrais) mais on fait autre chose...
Mais là, non. C'est beaucoup trop vivace pour que ça s'estompe en... quoi, 10 minutes de conduite ?
Je rentre chez moi, donc. Je monte les marches avec l'air le plus triste que vous ayez jamais vu. Une fois chez moi, je craque. Je m'allonge (enfin même pas, je me laisse tomber plutôt) sur mon lit, et je pleure. (on passera les détails, je tiens à ma dignité oh !)
Et puis, j'envoie un SMS à une potesse (qui a un prénom de lessive, alors appelons la Calgon.) Un truc un peu inquiétant, du genre "C'est la plus mauvaise journée de toute ma vie", le genre qui vous fait demander ce qui se passe quand on le reçoit.
Et je reste chez moi, sur mon lit. Pendant 4 ou 5 jours j'ai pas mangé, l'envie ne me venait pas... Je faisais que boire, parfois.
Une fois je suis allé à Auchan (ça me prend 5 minutes initialement) et j'étais tellement ailleurs que j'ai grillé un feu sur un carrefour. D'autres voitures passaient, elles ont freinés bien avant que je passe... Tant pis, ma mort, ça sera pas cette fois ci.
Et j'écrivais des SMS assez "pas très sympas" à Laura, des trucs comme "je te déteste" ou "tu m'as tué à l'intérieur" ce genre de trucs très jouasses...
Alors, c'est vrai qu'avec le recul que j'ai un peu maintenant, j'aurais peut être pas du lui dire ça. Je lui ai peut etre fait du mal à l'intérieur... On dira, "elle aussi", mais je sais pas si j'devais réagir comme ça... Je m'en veux quelque part, et je me demande si j'ai pas causé ce qui arrive maintenant...
Je lui ai proposé qu'on se revoie, qu'on en discute en "face à face", mais je suis d'accord que parler avec quelqu'un qui nous aime pas ou plus c'est peut être pas très intéressant... Et je savais pas si j'pouvais la revoir après si peu de temps. Alors on l'a pas fait, à mon grand regret... J'aurais aimé. J'aurais eu du mal, mais j'aurais aimé. C'est assez contradictoire en fait.
Et puis, dans ces moments là (enfin surtout quand on sait pas), on a un vieil instinct de masochiste qui revient.
J'suis allé sur Facebook. (insérer ici une musique kifaipeur)
Alors, on va me dire que Facebook en soi c'est pas si tragique, sauf... Quand on y découvre pour la première fois la tête, les gouts, la classe et le nom de celui qui partage désormais la vie de votre "bien aimée". Là, on range les trompettes, on se tait et on observe. "Qu'est ce qu'il a de plus que moi ?" se demanda votre serviteur. Et... Je sais pas. J'vais pas me jeter des fleurs c'est pas trop le genre de la maison, mais honnêtement, je pensais lui "correspondre". On pensait plus ou moins de la même façon, je crois. Enfin c'est ce que je pense. Alors après, forcément, on a pas tout en commun et on est pas d'accord sur tout, mais tant mieux, non ?
Et donc j'me suis mis à ne pas aimer ce gars.
Surtout quand j'ai rajouté 2-3 amis à elle, qu'on les voit ensembles et tout...
Étudiants d'epitech depuis 3 ans et qui vont partir en Chine, je vous déteste. Touuuus !
Et puis, on doit mentir à tout le monde aussi... Ma mère, passant son appel hebdomadaire "ça va ?" "ouioui..." Des amis "proches" sur lesquels il faut faire comme si il s'était rien passé (même si je leur ai dit après, mais d'une façon trèèès... légère, on dira). C'est très chiant et très douloureux.
Je détestais le monde d'ailleurs à ce moment là. Et moi du coup. Quoiqu'aujourd'hui aussi, mais par intermittence.
Tout ce dont j'avais envie, c'était de mourir, là, dans ma résidence. C'était pratique comme solution : mes fenêtres étant fermées, personne ne m'aurait vu, le suicide parfait !
Mais, malheureusement et comme vous le constatez, je ne l'ai pas fait.
C'est tout ce que j'ai à dire à propos de ça.
Voilà. Je marche en retenant mes larmes sur la route du Polygone (règle numéro 1 : ne jamais pleurer en public), je rentre dans ma voiture, je pose ma tête contre le volant et... Je pleure. Un peu. Pas trop, des gens du parking commencent à me voir et à se demander (enfin, je crois) ce que j'ai.
Alors je pars chez moi.
Ce qu'il y a de bizarre quand on conduit, c'est que ça aide à faire oublier. On est peut être un peu moins concentré sur sa conduite (j'y reviendrais) mais on fait autre chose...
Mais là, non. C'est beaucoup trop vivace pour que ça s'estompe en... quoi, 10 minutes de conduite ?
Je rentre chez moi, donc. Je monte les marches avec l'air le plus triste que vous ayez jamais vu. Une fois chez moi, je craque. Je m'allonge (enfin même pas, je me laisse tomber plutôt) sur mon lit, et je pleure. (on passera les détails, je tiens à ma dignité oh !)
Et puis, j'envoie un SMS à une potesse (qui a un prénom de lessive, alors appelons la Calgon.) Un truc un peu inquiétant, du genre "C'est la plus mauvaise journée de toute ma vie", le genre qui vous fait demander ce qui se passe quand on le reçoit.
Et je reste chez moi, sur mon lit. Pendant 4 ou 5 jours j'ai pas mangé, l'envie ne me venait pas... Je faisais que boire, parfois.
Une fois je suis allé à Auchan (ça me prend 5 minutes initialement) et j'étais tellement ailleurs que j'ai grillé un feu sur un carrefour. D'autres voitures passaient, elles ont freinés bien avant que je passe... Tant pis, ma mort, ça sera pas cette fois ci.
Et j'écrivais des SMS assez "pas très sympas" à Laura, des trucs comme "je te déteste" ou "tu m'as tué à l'intérieur" ce genre de trucs très jouasses...
Alors, c'est vrai qu'avec le recul que j'ai un peu maintenant, j'aurais peut être pas du lui dire ça. Je lui ai peut etre fait du mal à l'intérieur... On dira, "elle aussi", mais je sais pas si j'devais réagir comme ça... Je m'en veux quelque part, et je me demande si j'ai pas causé ce qui arrive maintenant...
Je lui ai proposé qu'on se revoie, qu'on en discute en "face à face", mais je suis d'accord que parler avec quelqu'un qui nous aime pas ou plus c'est peut être pas très intéressant... Et je savais pas si j'pouvais la revoir après si peu de temps. Alors on l'a pas fait, à mon grand regret... J'aurais aimé. J'aurais eu du mal, mais j'aurais aimé. C'est assez contradictoire en fait.
Et puis, dans ces moments là (enfin surtout quand on sait pas), on a un vieil instinct de masochiste qui revient.
J'suis allé sur Facebook. (insérer ici une musique kifaipeur)
Alors, on va me dire que Facebook en soi c'est pas si tragique, sauf... Quand on y découvre pour la première fois la tête, les gouts, la classe et le nom de celui qui partage désormais la vie de votre "bien aimée". Là, on range les trompettes, on se tait et on observe. "Qu'est ce qu'il a de plus que moi ?" se demanda votre serviteur. Et... Je sais pas. J'vais pas me jeter des fleurs c'est pas trop le genre de la maison, mais honnêtement, je pensais lui "correspondre". On pensait plus ou moins de la même façon, je crois. Enfin c'est ce que je pense. Alors après, forcément, on a pas tout en commun et on est pas d'accord sur tout, mais tant mieux, non ?
Et donc j'me suis mis à ne pas aimer ce gars.
Surtout quand j'ai rajouté 2-3 amis à elle, qu'on les voit ensembles et tout...
Étudiants d'epitech depuis 3 ans et qui vont partir en Chine, je vous déteste. Touuuus !
Et puis, on doit mentir à tout le monde aussi... Ma mère, passant son appel hebdomadaire "ça va ?" "ouioui..." Des amis "proches" sur lesquels il faut faire comme si il s'était rien passé (même si je leur ai dit après, mais d'une façon trèèès... légère, on dira). C'est très chiant et très douloureux.
Je détestais le monde d'ailleurs à ce moment là. Et moi du coup. Quoiqu'aujourd'hui aussi, mais par intermittence.
Tout ce dont j'avais envie, c'était de mourir, là, dans ma résidence. C'était pratique comme solution : mes fenêtres étant fermées, personne ne m'aurait vu, le suicide parfait !
Mais, malheureusement et comme vous le constatez, je ne l'ai pas fait.
C'est tout ce que j'ai à dire à propos de ça.
Mercredi 4 août 2010 à 0:03
"Laura vient de se connecter."
Aaaaah Laura. 5 ans qu'on se connaissait. 5 ans, c'est long, surtout quand c'est pratiquement quotidien (sauf pour les vacances quand même oh). Alors, forcément, ça crée des liens. Un peu trop d'ailleurs. Des fois même, des liens qu'on avait pas envie d'avoir.
Et fatalement, tel Joel Barish qui tombe amoureux de n'importe quelle fille qui lui prête un peu d'attention à sa vie, je suis tombé amoureux.
Ouais, moi.
Je me rappelle encore la première fois qu'on s'est vus... J'attendais tête baissée et regardant mon portable toutes les minutes (secondes ?) en me disant "tain mais elle va venir par où ?" sachant qu'on s'était donnés rendez vous sur une place, ça pouvait venir de n'importe où... Et puis, tant pis.
Et là, j'entends des pas, je relève la tête, elle était là. Souriante. Avec le soleil derrière sa tete, ça faisait très effet spécial naturel. Et j'lui ai donné son cadeau d'anniversaire (ouais en retard, chut). Elle avait l'air contente. J'étais content, parce que ce que je lui avait offert, c'est un truc qui me tient spécialement à cœur... J'expliquerais un jour.
On a marché, on a parlé (beaucoup) et puis on est allés chez elle. J'étais le premier à venir dans son logement strasbourgeois, je crois. Elle voulait meme que je reste manger avec elle... J'ai refusé, prétextant que j'voulais pas bouffer dans ses réserves (raison très conne s'il en est oui, mais j'le pensais vraiment). Alors je suis parti, en lui envoyant un SMS du genre "hey, on se revoit demain ?"
Y a eu ses amis que j'ai plus ou moins côtoyés... Elle avait l'air plus attentive sur eux que sur moi. C'est normal en même temps je crois, quand on connait quelqu'un que par msn on est forcément moins ami qu'avec les "vrais amis" (j'sais pas si j'arriverais à me recomprendre). En tout cas je crois que j'aurais fait pareil.
Bref.
Venons en au faits.
Elle me propose d'aller à l'Europapark avec des amis à elle. J'accepte, parce qu'on se voit quand meme une fois tous les deux mois, et si je rate cette occasion baaah... J'serais dans la merde. Et puis parce qu'Europapark, c'est cool. J'lui dis donc que oui, mais que si elle pourrait éviter de me laisser tout seul, ça m'arrangerait. Ouais, moi, en roue libre en face de gens inconnus, j'ai la fâcheuse tendance à imaginer les pires choses.
Eeeeet viens le jour J. Vu que je suis le seul à etre motorisé, j'dois l'accompagner elle et deux de ses amis (des homos, aha). Et on y arrive, en avance. On attend les autres, on se dit bonjour (ba ouais la politesse quand même merde) eeet... tout le monde se met en groupe plus ou moins et elle se met avec moi.
J'étais heureux. Sur le moment.
On fait donc le Silverstar (AHAH TRUC DE LOPETTES !), on marche vers un autre, et là...
"- Ah tiens c'est quoi ce bracelet ? So..ni...
- Sonisphère. C'est des concerts avec Metallica, Slayer et tout. C'était à Zurich. J'y suis allée avec un gars.
- Ah. Eeeeet... Megalove entre vous, c'est ça ?
- Ba non. J'ai un copain."
"Putain dégagez ! On le perd là ! ON LE PERD ! ON A PLUS DE POULS !!"
J'suis mort à l'intérieur pile à ce moment là. Alors bon, on a continué à vagabonder dans le parc, à y faire des attractions, j'devais afficher un sourire de façade... Et puis, les homos nous ont dit qu'ils prendront le bus pour revenir, alors on est revenus, en voiture. J'la questionne sur ce gars là, lui demande comment ils se sont connus...
"-Ba en fait ça faisait 4 mois qu'il me tournait autour...
- Il suffit qu'un gars te dise qu'il t'aime pour que tu tombes tout de suite amoureuse de lui ?
- Ba non mais c'est la première fois qu'on me faisait ça...
- Euh... Mais il fait quoi ?
- Il a 22 ans, il est dans un truc de programmation... Il habite au nord de l'Alsace."
Silence.
Et moi, bon prince, je la ramène jusqu'à chez elle. Sans un mot de ma part. J'pouvais plus faire "HEY ! SAICOUL QUE TU SOIS AVEC UN GARS !"
Elle est rentrée chez elle, moi je suis revenu à ma voiture... C'est drôle, parce que l'orage commençait à se lever, et donc il pleuvait...
"Car ce soir là le ciel pleurait, moi je n'ai fait que le copier"
Un jour, la suite. Parce que c'est vraiment trop long et donc trop chiant, là.
Aaaaah Laura. 5 ans qu'on se connaissait. 5 ans, c'est long, surtout quand c'est pratiquement quotidien (sauf pour les vacances quand même oh). Alors, forcément, ça crée des liens. Un peu trop d'ailleurs. Des fois même, des liens qu'on avait pas envie d'avoir.
Et fatalement, tel Joel Barish qui tombe amoureux de n'importe quelle fille qui lui prête un peu d'attention à sa vie, je suis tombé amoureux.
Ouais, moi.
Je me rappelle encore la première fois qu'on s'est vus... J'attendais tête baissée et regardant mon portable toutes les minutes (secondes ?) en me disant "tain mais elle va venir par où ?" sachant qu'on s'était donnés rendez vous sur une place, ça pouvait venir de n'importe où... Et puis, tant pis.
Et là, j'entends des pas, je relève la tête, elle était là. Souriante. Avec le soleil derrière sa tete, ça faisait très effet spécial naturel. Et j'lui ai donné son cadeau d'anniversaire (ouais en retard, chut). Elle avait l'air contente. J'étais content, parce que ce que je lui avait offert, c'est un truc qui me tient spécialement à cœur... J'expliquerais un jour.
On a marché, on a parlé (beaucoup) et puis on est allés chez elle. J'étais le premier à venir dans son logement strasbourgeois, je crois. Elle voulait meme que je reste manger avec elle... J'ai refusé, prétextant que j'voulais pas bouffer dans ses réserves (raison très conne s'il en est oui, mais j'le pensais vraiment). Alors je suis parti, en lui envoyant un SMS du genre "hey, on se revoit demain ?"
Y a eu ses amis que j'ai plus ou moins côtoyés... Elle avait l'air plus attentive sur eux que sur moi. C'est normal en même temps je crois, quand on connait quelqu'un que par msn on est forcément moins ami qu'avec les "vrais amis" (j'sais pas si j'arriverais à me recomprendre). En tout cas je crois que j'aurais fait pareil.
Bref.
Venons en au faits.
Elle me propose d'aller à l'Europapark avec des amis à elle. J'accepte, parce qu'on se voit quand meme une fois tous les deux mois, et si je rate cette occasion baaah... J'serais dans la merde. Et puis parce qu'Europapark, c'est cool. J'lui dis donc que oui, mais que si elle pourrait éviter de me laisser tout seul, ça m'arrangerait. Ouais, moi, en roue libre en face de gens inconnus, j'ai la fâcheuse tendance à imaginer les pires choses.
Eeeeet viens le jour J. Vu que je suis le seul à etre motorisé, j'dois l'accompagner elle et deux de ses amis (des homos, aha). Et on y arrive, en avance. On attend les autres, on se dit bonjour (ba ouais la politesse quand même merde) eeet... tout le monde se met en groupe plus ou moins et elle se met avec moi.
J'étais heureux. Sur le moment.
On fait donc le Silverstar (AHAH TRUC DE LOPETTES !), on marche vers un autre, et là...
"- Ah tiens c'est quoi ce bracelet ? So..ni...
- Sonisphère. C'est des concerts avec Metallica, Slayer et tout. C'était à Zurich. J'y suis allée avec un gars.
- Ah. Eeeeet... Megalove entre vous, c'est ça ?
- Ba non. J'ai un copain."
"Putain dégagez ! On le perd là ! ON LE PERD ! ON A PLUS DE POULS !!"
J'suis mort à l'intérieur pile à ce moment là. Alors bon, on a continué à vagabonder dans le parc, à y faire des attractions, j'devais afficher un sourire de façade... Et puis, les homos nous ont dit qu'ils prendront le bus pour revenir, alors on est revenus, en voiture. J'la questionne sur ce gars là, lui demande comment ils se sont connus...
"-Ba en fait ça faisait 4 mois qu'il me tournait autour...
- Il suffit qu'un gars te dise qu'il t'aime pour que tu tombes tout de suite amoureuse de lui ?
- Ba non mais c'est la première fois qu'on me faisait ça...
- Euh... Mais il fait quoi ?
- Il a 22 ans, il est dans un truc de programmation... Il habite au nord de l'Alsace."
Silence.
Et moi, bon prince, je la ramène jusqu'à chez elle. Sans un mot de ma part. J'pouvais plus faire "HEY ! SAICOUL QUE TU SOIS AVEC UN GARS !"
Elle est rentrée chez elle, moi je suis revenu à ma voiture... C'est drôle, parce que l'orage commençait à se lever, et donc il pleuvait...
"Car ce soir là le ciel pleurait, moi je n'ai fait que le copier"
Un jour, la suite. Parce que c'est vraiment trop long et donc trop chiant, là.
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